Communiqué de presse

La détresse médicale aiguë d’une femme en cellule ne résultait pas d’une faute d’un agent de Belleville

Numéro du dossier: 20-OCI-354   

Mississauga (Ontario) (19 avril 2021) ---
Le 16 décembre 2020, au petit matin, une femme de 54 ans était dans une cellule du poste du Service de police de Belleville lorsqu’elle est tombée en détresse médicale aiguë et a été transportée à l’hôpital. L’agent responsable des soins et du bien-être des détenus ce jour-là a été identifié comme étant l’agent impliqué aux fins de l’enquête de l’UES. Le directeur de l’Unité des enquêtes spéciales, Joseph Martino, a conclu qu’il n’y avait aucun motif raisonnable de croire que l’agent ait commis une infraction criminelle en lien avec la condition médicale de la femme.

Rapport complet du directeur (avec description de l’incident, éléments de preuve et analyse et décision du directeur) :https://www.siu.on.ca/fr/directors_reports.php

L'UES est un organisme gouvernemental indépendant qui enquête sur la conduite d'agents (agents de police, agents spéciaux de la Commission des parcs du Niagara et agents de la paix du Service de sécurité de l'Assemblée législative) qui pourrait avoir entraîné un décès, une blessure grave, une agression sexuelle ou la décharge d'une arme à feu contre une personne. Toutes les enquêtes sont menées par des enquêteurs de l'UES qui sont des civils. En vertu de la Loi sur l'Unité des enquêtes spéciales, le directeur de l'UES doit :

  • considérer si un agent a commis une infraction criminelle en lien avec l'incident faisant l'objet de l'enquête;
  • selon le dossier de preuve, faire porter une accusation criminelle contre l'agent, s'il existe des motifs de le faire, ou clôre le dossier sans faire porter d'accusations;
  • rendre compte publiquement des résultats de ses enquêtes.

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